(texte)
Les 100 nouvelles fermes-école de la Pougala Academy ont besoin de vous, de vos espaces pour évoluer.
Nous cherchons des espaces de 2 à 50 hectares, non loin de la route nationale, pour créer une centaine de ferme-usine-école dans 4 départements du Cameroun : Haut-Nkam, Mungo, Lékié et Haute Sanaga.
Il s’agit de donner la chance aux enfants des écoles et collèges de ces 4 départements, ce que nous avons expérimenté depuis 6 ans à Bafang.
Notre cible principale, sont les enfants des zones rurales de ces 4 départements, pour leur donner la chance de bénéficier des multiples séjours gratuits d’incursion dans le monde de la production agro-industrielle, pour apprendre par la pratique, le mécanisme de la valorisation de leurs territoires d’origine.
Les génies de demain, s’inventent aujourd’hui, lorsque les enfants sont encore petits et qu’on peut leur donner un niveau de défi et de compétition d’intelligence suffisamment élevés.
Nous recherchons des sites pour créer des plantations, des ateliers de production, avec si possible, des internats pour héberger certaines fins de semaines, les enfants venant des écoles et collèges de ces 4 départements.
Nos résultats seront partagés avec le gouvernement Cameroun, qui ensuite libre de vulgariser l’initiative dans tout le pays ou non. Nous faisons avec le peu de moyens à notre disposition. Et nous ne pouvons le faire pour plus de localités, compte tenu de ma propre disponibilité avec mes engagements à l’international.
Nous y installerons des laboratoires pour enseigner aux enfants en bas âge à créer et améliorer les semences, des principales céréales, les plus consommées au Cameroun aux techniques rudimentaires de création des races des différents animaux de l’aviculture aux dérivés de l’industrie laitière, sans oublier la maroquinerie.
Si vous avez des espaces qui ne vous servent pas, dans l’un de ces 4 départements où nous possédons déjà des infrastructures de production ou des plantations d’expérimentation de nombreuses plantes, nous serons heureux d’en prendre possession.
La proximité avec la route nationale est un atout, afin que les enfants y accèdent et y séjournent en condition de sécurité.
Nos investissements dans ces départements ne proviennent ni d’emprunts bancaires, ni d’aides d’aucune sorte de qui que ce soit. Et la finalité est juste continuer à donner notre part de contribution à l’édification d’un Cameroun prospère, en misant sur les enfants des familles les plus pauvres qui n’ont personne pour les recommander là où les enfants des riches passent d’habitude.
Voilà pourquoi, l’accès sera à titre purement gratuit et la totalité de financement puisée sur l’épargne de la famille Pougala.
Nous ne vous demandons pas de nous confier vos terres gratuitement, mais à des prix raisonnables pour une telle destination d’intérêt général.
On ne peut pas se plaindre de la montée de l’insécurité dans tout le pays et ne rien faire, individuellement pour combler les manquements de l’état.
Si vous avez quelque chose à nous proposer, merci de nous contacter par Whatapps sur +237-654-730-400
POUR LES ENSEIGNANTS
Si vous êtes un enseignant dans ces 4 départements, et vous désirez faire participer vos élèves à l’expérience, vous pouvez déjà prendre contact avec nous au même numéro.
Le principe consiste à former gratuitement les enseignants au préalable et c’est ensuite chaque enseignant qui accompagne ses élèves dans nos structures et c’est toujours eux qui expliquent les différents procès industriels à leurs élèves, bien entendu sous la supervision de notre personnel hautement qualifié.
Ceci permet d’éviter que l’intrusion d’un nouvel éducateur externe, perturbe la relation de respect et de considération que l’enfant entretient avec son enseignant, sur la base du flux de connaissances qu’il lui enseigne tous les jours.
En d’autres mots, procédant de la sorte, nous évitons que l’enfant croit que quelqu’un d’autre a des choses plus intéressantes à lui enseigner que son enseignant même.
Les enfants restent des enfants, par conséquent, parce qu’ils sont en croissance, c’est-à-dire, en mutation continue, il faut rester très vigilent, sur la manière de les intéresser aux choses nouvelles qui peuvent et doivent bouleverser leur perception du monde.
Donc, nous prenons très au sérieux la formation des enseignants sur notre site de Bafang, longtemps avant qu’ils programment d’accompagner leurs élèves respectifs sur nos sites.
CONCLUSION
On peut choisir de construire le Cameroun avec la bouche et le bavardage ou bien passer aux actions concrètes vérifiables.
A chacun son propre choix. Si vous partagez le nôtre, nous serons heureux de recevoir votre réaction.
Jean-Paul Pougala
Vendredi le 23/08/2024