Sans protection et tue l’économie et le progrès social… surtout, ses pépites d’or… Tue ses enfants,Où que l’on soit, sur terre, lorsque vous développez un concept, une idée novatrice, notre ami Google peut nous dire si nous sommes 1er à le faire… et quand bien même, si nous y avons apporté une vision encore inexistante, il faut rechercher le moyen de protéger notre travail, au niveau national et international.Si les gouvernement africains prenaient en compte la créativité de leurs citoyens, une banque de brevet existerait dans chaque pays, de sorte que le pays soit en capacité de promouvoir les cerveaux nationaux d’une part, de les protéger des prédateurs internationaux et d’autre part, de réclamer réparation devant les Tribunaux internationaux. Ce qui contribuerait à rapporter des devises dans leur budget au profit de leurs population, en plus discuterait les candidats au vol, à la prédation d’oeuvres et brevets d’africains.Si vous avez une création à protéger, recherchez l’argent auprès de votre communauté et brevetez votre ouvrage au niveau national (paris, quel comble !), et international de sorte que personnes ne puisse l’exploiter car vous serez le seul propriétaire connu au monde, seul dépositaire du concept ou procédé même si le produit existe déjà, votre touche personnel vous qualifie pour devenir le concepteur de votre “chose” et à ce titre, déposer un brevet d’invention vous qualifie car “Tout existe déjà sous le soleil…”
Soyez donc prudents, ne courez pas à l’appel des sirènes, l’argent tue, et la soif de gloire, une ambition démesurées et destructrice. La course SEUL, SEUL, SEUL peut mener à la mort… sans témoins, des langues mielleuses occidentales et hommes d’affaires crapuleux.
Africains, soyez créatifs, donnez du sens à votre paresse et démontrez, encore et toujours que l’Afrique est le berceau de l’humanité et protégez votre créativité.
Khû Ngoya – Réflexion du 11 mars 2023