Sosthène Médard LIPOT:✍️ #Journalisme_et_Intégrité ✍️

 Noblesse de la profession 

Tout journaliste digne de ce nom a un devoir d’honnêteté, de professionnalisme et d’intégrité morale. Dans un environnement camerounais marqué par des tensions politiques, des clivages accentués et des conflits de tous genres, le professionnalisme doit être de rigueur. Attention, la dictature défigure les journalistes en propagandistes, en manipulateurs, en mythomanes.  Ernest Obama pourrait en témoigner, et de nombreux autres personnels des médias, proches du régime dictatorial singulièrement,  et de tous les médias en général.. ———

 POUR COMPRENDRE 

🤔

• Il est important de comprendre que le journalisme est un état d’esprit, une philosophie de vie, un corpus de bonnes pratiques professionnelles et sociales.
• Il est important d’appréhender que le Journaliste est un médiateur professionnel, mû par un sens élevé de l’honnêteté, de la distance critique et de l’honneur. C’est un médiateur professionnel.
• Il est impérieux de savoir que le journaliste n’est pas un sorcier, il n’est pas un juge, il n’est pas un policier. C’est un médiateur professionnel.
• Il est judicieux de rappeler que le journaliste est un maillon essentiel dans la conscientisation des peuples : informer, éduquer et divertir sont ses missions fondamentales. C’est un médiateur professionnel.
• Il est impératif de rappeler au public que c’est ledit public cible, qui est le consommateur des produits médiatiques, et a dès lors le pouvoir de consommer ou de rejeter tout ce qu’il juge journalistiquement mauvais, conflictogène ou criminel.
• Il est indispensable de comprendre que la propagande politique n’est pas du journalisme, elle relève parfois du viol psychologique des foules, de la folie et de la manipulation.
• PARDONNER, OUI !• OUBLIER, NON, NON !
• Celui qui demande à recevoir le Président élu Maurice KAMTO et les cadres du MRC, a-t-il fait son véritable examen de conscience ? Au public de juger, à “Saint” Joseph Pulitzer de décider, lui, le père spirituel du journalisme moderne.
• Quand sur des antennes à large zone de couverture, on a “réussi”, non sans arrogance, par la stigmatisation, à distiller impudiquement et continuellement de la haine, des calomnies immondes, à l’encontre d’une organisation politique et de ses cadres, on n’use et abuse pas de légèreté du bout des lèvres, pour les convier comme “clients” au profit de l’audimat. Cela peut paraître ou s’avérer comme prétentieux, pernicieux et d’une violence perverse très subtile : cynique. 
• J’ai moi-même été, personnellement, l’objet de lynchages par le sieur Ernest Obama sur Vision 4, chaîne dont je fus le tout premier directeur (durant quelques mois) en 2009. En plateau, lors des sales besognes, Il y avait mon propre cousin germain, Francis Bonga(fils du petit frère de mon père, je suis son aîné de douze ans) dont j’ai contribué à la formation de journaliste. Récidivistes, ils ont même fabriqué toute une émission(?) au cours de laquelle un forcené, quidam invité, hilare et ivre, le visage dégoulinant d’épaisses gouttes de sueur dans des studios climatisés, sera chargé de mission pour “mensonges d’humiliation”. Vilipender Maurice KAMTO, alléguant qu’il aurait jeté un billet de cinq mille francs à la face de son Ami politique, l’incorruptible Sosthène Médard LIPOT. Une scène, un mensonge sorti tout droit de la double imagination haineuse du pseudo Journaliste et de son pseudo invité, recommandé par une officine de la haine bien identifiée. Objectif inavoué de la manœuvre tribaliste, semer la zizanie entre d’éminents membres fondateurs du MRC, cogner des têtes et donner ainsi un coup de pouce à leurs copains et acolytes du régime despotique corrompu. Échec du complot, et concomitamment en 2020, descentes en enfer de la bande de criminels agissant en co-action. Loi du karma : l’un sera brutalement chassé en public par son Pdg fou furieux, l’autre sera chassé par son ancien-nouveau Rdpc, non sans avoir été confronté à la police française pour une histoire cocasse et coquine de proviseure du lycée Fustel de Coulanges portée disparue.


• J’exerce la profession de journaliste depuis 1988, année de mon admission sur concours à l’ESSTIC, établissement où j’ai eu l’honneur de réussir à trois reprises, sur trois cycles d’études différents. J’accumule une expérience professionnelle d’une trentaine d’années en sciences et techniques de l’information et de la communication. Ces rappels, que je fais, en toute humilité et décence, visent tout simplement à permettre aux et aux autres à se faire une idée du capital culturel initial de celui qu’on lit. 
• Je souhaite que les Camerounais, usagers des médias, développent des compétences médiatique encore plus confortables, question de savoir séparer le bon grain de l’ivraie. Autrement dit, que les Camerounais acquièrent de plus grandes capacités à critiquer objectivement ce que la télévision, la radiodiffusion, la presse écrite et les médias sociaux leur offrent. Sans prétention aucune, par souci de partage des savoirs, savoir-faire et savoir-être sur le champ de la réception médiatique, il m’échoit l’honneur de dire ceci : un produit médiatique n’est bon que si, et seulement s’il est correct sur les plans TECHNIQUE, DÉONTOLOGIQUE, SOCIOLOGIQUE puis ÉDITORIAL.
• Le journalisme est une profession de la noblesse sociétale. Tout praticien digne de ce nom doit être intègre et respectueux des canons du corps de métier. Ce n’est pas facultatif.

🎩

 MÉDIATIQUEMENT VÔTRE 

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