23 MAI 2019,PAR 
Les intentions criminelles du régime dictatorial de Paul Biya envers le directoire emprisonné de l’opposition camerounaise se précisent. Les securocrates du régime projettent d’assassiner le Président élu Maurice Kamto et ses fidèles compagnons ! Alerte!
ALERTE ALERTE ALERTE ALERTE ALERTE!CRIMES EN PRÉPARATION A KONDENGUI

Le monde entier a enfin compris le drame qui se joue en coulisses contre le peuple camerounais avec un président-automate téléguidé par des forces tapies dans l’ombre et qui s’apprêtent à passer au dernier acte de leur pièce.

Le seul obstacle à leur plan machiavélique reste la crème de Kondengui avec les têtes de proue : KAMTO, PENDA EKOKA, DZONGANG, KINGUE, FOGUE, DJAMEN, VALSERO, NDOCKI qui ont été arrêtés dans les conditions que l’on sait sur ordres de Ferdinand NGOH NGOH qu’on ne présente plus et selon un plan ourdi par Paul ATANGA NJI, celui-là même qui ne s’embarrasse pas du respect dû au PM DION NGUTE, puisqu’il sait que le pouvoir est ailleurs, entre des mains autres que celles de Paul BIYA.

NGOH NGOH qui n’est passé par aucune élection exerce désormais la réalité du pouvoir sans en assumer la responsabilité qui lui est attachée exposant un Paul BIYA de moins en moins lucide à travers divers actes de souveraineté relevant du seul président de la République grâce à ce fameux décret qui lui confère toute latitude pour faire et défaire des carrières, engager toutes procédures en vue de bâillonner, voire éliminer tous ceux qui pourraient se mettre en travers de sa route pour le trône avec l’aide de la coalition tribalo-militaire à sa solde.

Et c’est ainsi qu’il faut comprendre l’arrestation illégale des leaders ayant initié les marches pacifiques dites blanches du 26 janvier 2019 à travers les rapports des responsables de la DGRE, du SED et de la DGSN, hommes-liges du SGPR NGOH NGOH et parties prenantes du complot en préparation.

Au cours de la dernière réunion qu’ils ont tenue dans un domicile privé pour ne pas éveiller les soupçons, ils viennent de lancer une véritable fatwa contre les illustres prisonniers devenus encombrants après plus de quatre mois de cacophonie judiciaire devant une juridiction militaire incompétente, et ce, en totale violation de la Constitution, des lois de notre pays et de ses engagements internationaux.

Et ils ont prévu de passer à la vitesse supérieure. Contre forte somme, ils vont armer un des plus jeunes prisonniers du groupe BOKO HARAM pour accomplir la sale besogne : on parle d’un produit qu’ATANGA NJI aurait ramené spécialement de son dernier voyage et qui, une fois humé, causerait une mort immédiate. Ce gaz serait de la famille du sarin et le pion qui a été contacté l’a déjà en sa possession au sein de la prison principale avec des complicités internes bien établies.

La communauté nationale et internationale doit être informée de ce plan macabre. Ce n’est plus qu’une question de jours avant que le jeune ne passe à l’acte. Il a reçu le feu vert du commanditaire suprême et il va incessamment passer à l’action puisque ses contacts extérieurs lui ont confirmé avoir déjà reçu le montant convenu par l’intermédiaire d’un envoyé de Paul ATANGA NJI qui a été identifié et qui se vantait de détenir un secret d’Etat.

Une fois cet acte commis, ils passeront à la suite du programme qui se fera autour d’une révolution de palais avec l’éviction prévue de Paul BIYA. Nous y reviendrons.

Pour l’heure il est important de déclarer au monde entier que ces prisonniers politiques ne souffrent d’aucune maladie pouvant entraîner une mort subite. Ils sont en bonne santé.

On a longtemps clamé que le Cameroun, pays dit de démocratie apaisée, est un état de droit ; ce qui est un leurre bien évidemment quand on voit tout ce qui est mis en œuvre pour discréditer ces combattants de la liberté et des droits fondamentaux et organiser par la suite leur élimination physique , oubliant qu’ils ne sont pas le problème et que leur disparition ne contribuera nullement à effacer le délabrement et la déflagration du Cameroun, et encore moins la dégradation accélérée des conditions de vie des populations, dont la cause réelle réside dans le leadership désastreux et la mal-gouvernance conséquente actuels.

Et pourtant, la lucidité et le sens de l’intérêt général commanderaient que ces patriotes soient pleinement impliqués dans la recherche de solutions efficaces pour un redressement durable de la situation de notre pays.

Avis donc aux Camerounais et à tous les amis du Cameroun : Evitons le silence complice.

UN MESSAGE DES PATRIOTES DU CAMEROUN 

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