Il a été l’un des premiers ivoiriens de la diaspora à se lever, après les événements du 11 avril 2011 dans son pays, pour dénoncer la forfaiture de l’armée Française, qui “renversa le Président Laurent Gbagbo pour installer Alassane Dramane Ouattara…” , selon les dires de Nicolas Sarkozy alors Président de la République Française.
Depuis alors, l’Homme qui a permis aux institutions du monde de palper les réalités Franco-Ivoiriennes, ou encore françafricaines, via son média sur internet, n’a eut de cesse de se battre en arpentant les Palais Français et autres institutions.
Homme de presse hier, il est aujourd’hui à la tête d’un mouvement politique,
qu’il a créé, et qui entend être, selon lui, “une alternative crédible”.
Par ailleurs, depuis quelques mois, on assiste à une certaine reconversion, ou tout simplement retournement, de certains Hommes politiques ivoiriens, qui semblent avoir décidé d’emprunter à Jacques Dutronc, un chanteur…Français, décidément, un de ses titres phares à savoir: “je n’ sais faire qu’une seule chose, je vais retourner ma veste…”.
Dans ce jeu encore difficile à qualifier, une question se dégage: les amis d’hier, unis contre Laurent Gbagbo, seraient-il entrain d’aiguiser leurs couteaux pour s’entretuer?
Christian Vabé, Président du Rassemblement des Peuples de Côte d’Ivoire – Alternative Crédible (RCPI-AC), décortique cela dans l’interview vidéo, accordé à JMTV+, qui accompagne ce texte.