La nouvelle n’a pas manqué de faire réagir de ce côté de la Méditerranée. Colère et indignation étaient au rendez-vous à l’annonce de l’augmentation prohibitive des frais de scolarité en France pour les étudiants non-européens.
Dans la continuité de l’annonce des hausses de frais de scolarité dans les établissements universitaires de France, les administrations concernées n’ont pas tardé à dévoiler les mécanismes mis en place pour un meilleur recouvrement de cette nouvelle manne financière pour l’Etat. Parmi ces derniers, une mesure controversée invitant les étudiants non-européens à consentir une garantie réelle sur au moins l’un de leurs reins. Organe qui pourrait être restitué à son titulaire à la remise de son diplôme final, pour peu que ce dernier ait honoré la totalité de ses engagements financiers envers l’université. Dans le cas contraire, l’établissement universitaire se verrait accorder le droit de disposer en bon père de famille de l’organe faisant l’objet du gage, notamment en le mettant en vente sur le Dark Net en vue de se faire rembourser les arriérés de paiement de l’étudiant défaillant, augmentés des frais de relances et autres pénalités de retard.
La Tunisie non concernée par la mesure.
A la surprise générale, la Tunisie a été exclue de cette mesure concernant le reste du continent africain. Pour autant, cette exception n’a rien d’une exemption puisque le pays de onze millions d’habitants s’est vu accorder une fin de non-recevoir par les autorités françaises, en raison de la mauvaise qualité des reins de leurs étudiants. En effet, en déclarant que les “étudiants africains devaient avoir les reins suffisamment solides pour venir étudier en France !” le responsable de la communication de Campus France ne faisait pas dans la métaphore, mais pointait ouvertement du doigt les reins des étudiants du pays du jasmin, notoirement connus pour la nature aléatoire de leur hygiène de vie. Pour essayer de contourner la qualité moindre des reins de ses ressortissants, les autorités tunisiennes se démènent afin d’offrir à leurs homologues français des garanties réelles à la hauteur de leurs attentes. Des indiscrétions font état d’une offre à venir de la partie tunisienne proposant la mise sous hypothèque de leur prix Nobel pour la paix. En cas de refus de la part des français, ils seront prêts à mettre la Champion’s League africaine fraîchement gagnée par l’Espérance Sportive de Tunis dans la balance afin de forcer la décision en leur faveur.
La rédaction(LerPresse)