Moins de 60ans après le génocide bamiléké,encore pas reconnu par ses commanditaires, qui vit le massacre de plusieurs million de bamiléké (dixit Constantin MELNIK*), le problème de ce peuple de l’Ouest du Cameroun, réputé dynamique se pose toujours dans ce pays d’Afrique centrale.
Après le forfait de l’Occident au court des années 50, 60 et 70, Ils sont aujourd’hui nombreux ceux des régions du Centre,du Sud,de l’Est et même du Littoral de ce pays de près de 30 million d’habitants, qui pensent et demandent au Bamiléké de retourner « chez eux », comme si ceux-ci constituaient des Camerounais entièrement à part. Dans cette vidéo, ce jeune autochtone yaoudéen** dit tout haut ce que’ les autres pensent tout aussi haut, tout simplement, comme si l’histoire n’apportait rien à ce pays au potentiel humain incommensurable…
* »La Mort était leur Mission » livre de Constantin MELNIK, publié chez PLON en 1996,raconte les multiples exactions et l’utilisation du NAPALM par la France en Algérie et au Cameroun.