

(texte)
oui mais ça c’était avant, avant l’arrivée de la Pougala Academy de Jean-Paul Pougala.
Pendant 10 ans, l’Institut d’Etudes Géostratégiques (ieg) à travers la Pougala Academy a formé une centaine de jeunes industriels qui se sont installés dans la région de l’Est où ils ont investi leurs capitaux.
Ce n’est pas encore venu le moment de sortir du Sous-marinage pour montrer au grand jour, nos réalisations, mais nous y travaillons avec ardeur.
Tous les diplômés de a Pougala Academy sont invités dimanche le 23 mars 2025 à xxxxxx dans la localité de Dimako, pour la séance de mise à jour annuelle.
Un bus sera mis à votre disposition au départ de Bafang et de Yaoundé, pour l’Est du Cameroun.
Merci de contacter Théo, pour vous identifier comme membres du collectif des Nouveaux Industriels Africains (Rinvindaf) et surtout pour avoir plus de détails sur l’heure de départ et le lieu exact de destination, à l’Est.
La rencontre aura lieu après-demain dimanche après-midi du 23 mars 2025, après la visite ensemble de plusieurs installations appartenant aux membres de notre collectif Rinvindaf.
Ce sera l’occasion d’attribution des terres encore disponibles dans les secteurs stratégiques décidés au sein de notre disposition, de la chimie à l’extraction et la transformation minière.
Nous allons tous loger sur place. Aussi, je vous prie de confirmer au plus vite votre venue, pour qu’on ajuste les disponibilités d’hébergement et de restauration.
Le retour est prévu lundi matin 24 mars 2025. Ce qui donne la possibilité à ceux qui ont leurs vols de l’aéroport de Douala lundi soir d’être à l’heure pour l’embarquement.
Un jour viendra peut-être où loin de tout slogan creux et bavardage inutile, les actions des uns et des autres parleront à leur place, comme témoignages palpables du bilan de chaque intellectuel camerounais, pour sa contribution personnelle à la construction de la prospérité partagée de notre pays.
D’ici-là, nous continuons de nous rassembler autour des idéaux de la lutte contre la pauvreté des plus démunis dans notre pays, à travers l’industrie, à travers la création et la production de richesses en milieu rural camerounais.
L’indigence et la pauvreté de notre société est l’affaire de tout le monde. Car au final, l’État c’est chacun de nous.
Peut-être que ce que nous construisons sera moins que la goutte d’eau qui laisse intacte l’immensité de la mer, ou même qu’on n’y arrivera jamais, mais l’échec est de loin préférable à l’inaction, à l’indifférence face au dénuement de nos populations.
Jean-Paul Pougala
Vendredi le 21 mars 2025